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Rédaction de français

  • Texte réalisé par Malinka.

 

« Je me rappelle de ce jour si bizarre, si froid pour moi où je me sentais mal dans ma peau, toute seule dans un coin. Je perdais tous mes moyens, je n’avais plus confiance en moi, j’étais vraiment mal, très mal. Je m’habillais mal, même plus la force de faire un effort. Le paysage autour de moi était froid, neutre. Le ciel était noir et ses nuages pleuraient de tristesse, dans la cours de récréation tous le monde riait : ils en avaient de la chance eux ! Plus rien n’allait, mon cœur s’épuisait d’une minute à l’autre, il souffrait, il avait un très gros chagrin. Le soir dans mon lit, c’était pire, pire qu’un cauchemar, mais c’était réel. Les arbres que je voyais par la fenêtre qui fronçaient leurs branches, ils avaient de la peine, de la tristesse de me voir dans un tel état. Après une nuit de sommeil enfin très peu de sommeil, au lever du jour, je voyais comme la vie en rose. Le soleil brillait comme une étincelle les nuages avaient disparu.  Mon cœur était passé de froid à très chaud. C’était le paradis, j’avais le sourire figé, j’étais heureuse, épanouie, pétillante comme des bulles de champagne. Les arbres de la cours, étaient heureux, soulagés, on le voyait grâce à toutes les petites fleurs qui avaient poussées, et des feuilles magnifique verte anis : j’étais habillée comme aux couleurs de mon cœur c'est-à-dire de rose, de rouge, pailleté… J’avais comme une impression de m’être transformée pendant la nuit ; mais non, nuance ce n’était pas ça, c’était grâce à une jeune fille qui elle était depuis deux ans à ce lycée et comme moi nouvelle, elle m’avait redonné un sens à ma vie, elle m’avait réconfortée, elle était là pour moi, elle m’avait fait passer d’une vie triste à une vie joyeuse, en une seule nuit et m’avait fait comprendre les choses petit à petit, merci Marina, merci pour tout. »

 

 

Texte réalisé par Trebucq Elodie et Sarthe Audrey


« Je sortis de la pièce car cela me rendait malade de voir Carla dans cet état, je ne pouvais pas supporter qu’elle vive sans voix. Je fis marche arrière pour aller à la recherche de l’ouvrage qui m’a donné ce secret. Arrivé dans la bibliothèque, le petit traité semblait voir disparu, pris de panique je me rappelais que j’avais entendu parler d’un luthier qui connaissait tous les secrets du violon. Je partis avec ma gondole à la recherche de celui-ci. Arrivé devant son atelier, la devanture était délabrée comme à l’abandon. Cela semblait étrange pour l’atelier d’un violoniste, j’ouvris la porte et un bruit sinistre l’accompagna. A l’intérieur je vis Mr luthier en train de réparer un violon anéanti. Je me présentai et lui expliquai mon problème. Il partit à l’arrière boutique me chercher le livre pour ma situation, revenu avec un gros grimoire poussiéreux qu’il ouvrit il commença à incanter des phrases très étranges, brutalement mon violon que je tenais dans les mains changea de couleur et redevient comme avant. Le jour suivant je partis prendre des nouvelles de Carla et d’un grand étonnement ce ne fut pas le domestique qui m’ouvrit la porte mais Carla en pleine forme et qui avait retrouvé sa voix. 

 

 

Texte réalisé par Léberon Johanna, Arto Camille et Rouanet Lucile.

 

Je sortis en titubant et quittais le palais. J’errais dans les rues de Venise ne sachant pas où j’allais, peu importe l’eau qui inondaient les rues… il fallait trouver la solution, il fallait la sauver. Je ne pouvais renoncer à l’idée que j’allais la perdre. Je réfléchissais jour et nuit sans jamais trouver quelle solution il fallait entreprendre pour qu’elle retrouve la vie et sa voix si divine. J’allais lui rendre visite tous les jours, je restais à son chevet lui jouant du violon espérant que cela lui rendrait la force de se battre et de pouvoir guérir. Mes rêves étaient dédiés à elle. Tous plus impossible que les autres, j’avais rêvé qu’elle avait été victime d’un sort et qu’il lui fallait un autre sortilège pour s’en sortir mais cela n’était pas rationnel, non ce n’était pas possible… Son père, ne savait que faire, il était tout aussi perdu et impuissant, il n’y avait aucune solution qui se profilait. Puis un beau jour en ayant joué toute la journée pour Carla, je fus pris d’une sensation bizarre, comme s’il se passait quelque chose d’important, je retournai immédiatement dans sa chambre et la vis debout au pied de son lit, titubante et les joues rosies. J’essayai de lui parler mais elle ne répondait pas. Avait-elle peur de parler et de se rendre compte qu’elle n’avait peut-être pas récupéré sa magnifique voix ? Elle me regardait ne sachant que faire, je m’avançais vers elle et je la pris dans mes bras. Et là… le miracle se produit, elle me chuchota dans le creux de l’oreille « merci ». C’est les larmes aux yeux que nous descendions à la salle à manger prévenir son père, il fut le plus heureux et se retourna pour m’annoncer qu’une terrible nouvelle. Le violon avait disparu. Nous n’avons jamais pu le retrouver, et si c’était lui qui avait sauvé la belle et délicieuse Carla ?

Nous ne le saurons jamais.

 

 

Rédaction de Français réalisée par Pecoste Marlène, Humaraut Marina et De MontBarbon Malinka :

        

De longues heures après avoir quitté la chambre de Carla, je retournais dans mon établi assis sur une chaise, je regardais la nuit tomber, mon violon à la main. Je commençai à me questionner sur la relation entre mon violon et la maladie de ma ben aimée.

Est-ce mon violon qui lui a enlevé sa si belle voix ? Serais-je coupable de ce drame ?

Je ne sais point, je regardais mon si beau violon noir qui me fît penser à ses si beaux yeux et à sa si belle voix. Après une bonne nuit de sommeil et de réflexion, je compris que tout était de ma faute, par rapport à la perte de sa voix. Je trouvai une solution au problème car je ne voulais pas la voir partir loin de moi. Je décidai donc de la rejoindre chez elle. Je poussai la porte de sa chambre, je vis son visage triste, malade, elle souffrait.

Elle me fit un sourire du coin des lèvres, elle était belle, je m'assis sur le bord de son lit à baldaquin, et commençait à lui jouer un de ses morceau préféré de violon.Elle se mit à me regarder dans les yeux, la larme à l'œil, 

je compris que je lui avais volé sa voix en créant le violon. J'aimais tellement ce violon, je m'étais attaché à lui ; mais il fallait que je fasse un choix. Je décidais donc de briser mon instrument pour que Carla récupère sa voix et puisse soigner sa maladie étrange. J'étais heureux et soulagé, elle était enfin à moi, je la voyais heureuse donc j'étais  heureux. 



02/02/2012
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